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 L'adoption de Kazu

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2 participants
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Kin

Kin


Age : 30
Date d'inscription : 20/11/2010
Messages : 2

L'adoption de Kazu Empty
MessageSujet: L'adoption de Kazu   L'adoption de Kazu EmptySam 20 Nov - 16:29

Kin entrouvrit les yeux et jeta un bref coup d'oeil à sa montre qui indiquait 11h36.
Un bande de jeune certainement déjà imbibés d'alcool à cette heure, se bataient en hurlant en bas de l'immmense maison abandonnée, qui devait avait surement été, il y une cinquentaine d'années une demeure riche et somptueuse, mais qui avait aujourd'hui une allure de maison hantée défraichie. C'était là que Kin avait élu domicile il y à quelques semaines déjà.
Pour quelqu'un de normal, cet endroit était un véritable enfer avec ses murs à moitié éffondrés ou pourris, l'eau courante qui s'écoulait en crachotant et qui arborait une étrange coloration verdâtre, les baignoires et éviers jaunis, ses planchers gonflés d'humidité et ses nombreuses pièces plongées dans le noir dont les portes en bois sculpté claquaient sans cesse à cause des courants d'air provoqués par certaines fenêtres brisées. L'électricité grésillait et lorsqu'on allumait un des plafoniers, un autre s'éteignait quelque part.
L'ensemble fichait la chair de poule et était situé dans le quartier le plus mal fammé de Tokyo, dans une des ruelle aux pavés irréguliers qui faisaient l'objet de descentes de police régulières pour tout une floppée de raisons : l'endroit grouillait de dealers, il y avait ici de nombreuses bagarres violentes comme cette nuit, on signalait très souvent des plaintes de viols ou d'agressions, et ils se trouvaient dans ce dédale pas mal de bordels.
Mais pour Kin, c'était l'endroit révé. Personne ne savait qu'il vivait ici, ni qu'il était un neko, ce qui lui évitait de se retrouver à la fourrière, il ne devait rien payer et trouvait toujours de quoi s'occuper.
Comme il savait qu'il ne parviendrait pas à se rendormir, il se redressa en s'appuyant sur ses coudes en gromelant, se passa une main sur le visage, gratta une de ses oreilles aux poils noirs et doux, puis s'asit sur sa couchette de fortune, vétu seulement d'un boxer noir terriblement moulant. Son coude était posé sur son genou et sa tête reposait lourdement sur sa main. De l'autre, il sorti une cigarette de son pacquet négligement posé à même le sol, la coinça entre ses lèvres rosées, attrapa son briquet et l'alluma.
Il faisait très sombre dans sa chambre, même si le soleil atteindrait bientôt son zénith, grâce aux jours rideaux noirs qui obstruaient totalement la fenêtre. Dans le noir, le point rougeoyant de sa cigarette semblait flotter au dessus du gouffre de sa bouche parfaitement dessinée.
Il avait encore du mal à faire la différence entre ses rêves et la réalité, et les voix agitées de dehors semblaient vouloir le bercer encore.
Il ne parvint à se lever qu'au bout d'une vingtaine de minutes et de quatre cigarettes qu'il écrasait directement sur le plancher. Dehors, les cris avaient céssés.
Kin se dirigea de ses pas encore emprunt de sommeil, mais malgrès tout aussi souples et légers que ceux d'un chat, vers la cuisine. Il descendit les escaliers qui grinçait horriblement fort et fit chauffer de l'eau dans une bouilloire en alluminium gondolé, afin de se préparer un café. Il le but d'une traite et remonta dans la salle de bain, où, malgrés l'eau sale, il se rafraichit tant bien que mal et se brossa les dents. Il enfila ensuite les vêtements qui étaient éparpillées de ci, de là. Dehors, les premiers rayons de soleils éclairaient déjà la ville.
Quant il franchit le seuil de la porte, il éait 13 heures pile.
La ruelle était déserte si l'on faisait abstraction du vieillard qui dormait par terre, une bouteille de vodka vide à la main. Comme il dormait profondément, Kin décida de lui fouiller les poches. Il trouva cinq mille yens qu'il fourra dans la poche de son jeans, et jugeat le reste sans interêt, puis il continua sa route. Il ne savait pas vraiment où il allait, et déambulait sans but. Une fois sorti du quartier où il habitait, il se routrouva dans une rue commerçante qui grouillait déjà de personnes aux pas pressés.
Il pénétra dans un des cafés qui bordaient la route et commanda les plusieurs patisseries qui constitueraient son dinner. Kin mangeait comme quatre sans jamais grossir, et il préférait largement le sucré aux salé.. Il pouvait se permettre aujourd'hui de dépenser un peu d'argent pour des futilités du genre, car il avait accumulé un petite somme et qu'il n'avait pas besoin de dépenser beaucoup au quotidien.
Il sorti de là vers 14h
Alors qu'il ne savait pas encore quoi faire, son portable sonna. Il regarda en vitesse le petit écrant lumineux qui affichait un numéro inconnu. Sans doute du travail. Il travaillait e nuit dans un bar gay pas trop loin de chez lui. Kin ne servait pas, il tournait dans la salle, à faire son numéro ou alors, ou était enfermé dans une chambre avec des humains dégoûtants. Il ne servait pas cependant qu'aux hommes, il arrivait parfois qu'il fasse le trotoir, et il se faisait aborder de temps en temps par des femmes. Tout est bon pour gagner de l'argent. On l'appelait parfois sur son portable en journée, et il devait alors se rendre dans un lieu précis pour se faire sauter par n'importe qui. Un travail peu glorieux, mais que le jeune neko avait trouvé satisfaiant puisqu'il était payé très cher pour presque rien.


-Allô? Dit-il de sa voix suave.

-Kin? C'est Murakami; je t'attend dans vingt minutes à l'endroit habituel. La voix raccrocha, sans même attendre de réponse de la part de Kin.

Murakami était un des plus fidèle client de Kin, même si celui-ci ne connaissait toujours pas son prénom. C'était un homme d'une trentaine d'années, un buisnesman pour qui tout marchait. Il était marié depuis cinq ans, mais n'osait pas avouer qu'il était gay. Un cas plutôt classique. Alors il faisait appel au neko qui ne l'appréciait pas du tout, mais qu'il servait ans broncher, parce que c'était lui qui le payait le plus cher.
Comme Kin n'avait rien de prévu, il se rendi sans se presser à leur lieux de rendez-vous qui n'était autre que le bureau de Murakami.
Il arriva là-bas avec dix minutes de retard. L'homme ne lui en tint pas rigeur, mais entra tout de suite dans le vif du sujet car il avait une réunion dans à peine une demi-heure. Kin connaissait les préférences de Murakami-san et pris un air désolé tout à fait craquant en lui disant avec une petite vois fondante:


-Pardonne-moi Murakami-sama. je suis arrivé en retard, il va falloir que tu me punisse...

Ce que le buisnessman s'empressa de faire.

~*~

Une demi-heure plus tard, Kin sorti de là, en faisant de son mieux pour ne pas boitiller. Il avait encore la marque des menottes sur ses poignets qu'il massait en grimaçant. Murakami y était allé fort, mais il lui avait donnné une très belle somme d'argent, un somme qui vallait bien ses douleurs.

Il marchait maintenant nonchalement le long des rues baignées de la lumière chaude de l'après midi, profitant de cette belle journée d'été.
C'est alors qu'il passa devant la vitrine de l'animalerie. Il n'était pas rare que Kin y fasse un tour, déguisé en humain, vétu d'une longue veste sombre pour cacher sa queue et de son chapeau pour ses oreilles, tout cela pour aller voir ses congénaires meurtris dans des cages, se laissant croupir de désespoir ou attendant un maître avec impatience.
Il passa donc le seuil de l'endroit et n'eut même pas le temps de dire un mot, qu'une vendeuse se trouvait à coté de lui, ayant bien pris soin d'éxiber au maximum sa pointrine.


-Bonjour, je peux vous aider? Dit-elle en se trémoussant à coté de Kin.

Il la regarda avec dédain en haussant un sourcil. Puis il lui répondit en prenant au maximum l'allure d'un humain à la recherche d'un esclave :


-Oui, je suis à la recherche d'un neko, un mâle de préférence. Le meilleur que vous ayez.

-Très bien, suivez moi.

Elle le mena devant un neko à l'air stupide qui accrochait ses mains aux barreaux en souriant et en agitant la queue.

-Voilà notre meilleur élément masculin, il fait tout ce qu'on lui demande et il est très rapide à la tâche!

Kin ne l'écoutait déjà plus faire l'éloge de cet hybide pathétique. Son regard était attiré par celui qui se trouvait à coté. Un jeune mâle blond, assi dans le fond de sa cage. Il était un peu trop maigre, mais cela n'enlevait rien au fait que Kin avait rarement vu des personnes aussi sexy.
Il s'abaissa légèrement pour être à la hauteur de ses yeux, posa ses mans sur ses hanches, sourit narquoisement et lui lanca d'une voix grave et autoritaire :


-Et toi? Tu as un nom ou il va falloir que je t'en donne un?
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Kazuhiko Seishi

Kazuhiko Seishi


Date d'inscription : 20/11/2010
Messages : 1

L'adoption de Kazu Empty
MessageSujet: Re: L'adoption de Kazu   L'adoption de Kazu EmptyDim 21 Nov - 5:30

Voila maintenant 3 semaines, voire 1 mois que Kazu était enfermé ici, vivant dans des conditions déplorables ; la nourriture de la fourrière, bien que se faisant rare et aléatoire, était si atroce que Kazu, n'ayant rien avalé depuis un bout de temps ne ressemblait plus tellement au neko vif et attirant qu'il était avant d'atterrir dans cet enfer . De plus, les douches n'étant qu'occasionnelles et de courte durée, ce dernier était crasseux et empestait la taupe ... enfin, le jour du bain étant tombé aujourd'hui, il avait pu se rafraichir un peu . Mais son état n'en était pas moins piteux, il avait les joues creuses et les cotes bien trop apparentes ( ce qui était très exposé car les « animaux »sont exposé en sous-vêtements ) ce qui bien sur, ne le favorisait pas tellement aux vues des principaux acheteurs, surtout additionné au fait qu'il insultait trop souvent les quelques preux s'approchant trop prés de lui .

Dire qu' à l'extérieur, Seishi vaquait d'un foyer a un autre en toute liberté, enchainant ses amants, homme comme femmes, de milieux aisés ; il remboursait les loyer « en nature » . Avec un physique tel que le sien, il pouvait bien se permettre de parasiter les appartements de bourgeois ou de se faire offrir le séjour à la chambre d'hôtel, le prix à payer ne le mouvant pas plus que ca, qu'il sois au dessus ou en dessous . Le lendemain, il passait la journée a se promenait en rue, mangeant et s'achetant des futilité avec les pourboires qu'il recevait très fréquemment ... Il était d'ailleurs étonnant qu'aucun de ses « maitres » (il déteste dire avoir un maitre) ne sois venu le racheter .
Un train de vie ingérable ; la nuit il se faisait héberger comme un concubin et le jour il errait en rue . Mais c'était son quotidien et il ne pouvait être autrement dans une ville de débauche telle que Tokyo, qui, au fil des ans était devenu une ville parsemée de petites banlieue ou régnait la terreur, et où les trafiques de touts genres proliféraient en toute impunité .

Il devait être aux alentour de 13h, l'heure à laquelle son voisin beuglard se mettait à miauler à la mort, espérant pitoyablement recevoir une bouchée de la potence du jour . C était pour Seishi, bien qu'insupportable, la seule référence temporelle ; il n' y avait la moindre horloge dans cette foutue taule . Le ventre de Kazu se mit également à beugler peu de temps après ; cela devait bien faire 15 jours qu'il n'avait pas touché à de la nourriture, cette dernière étant l' horrible bouillie pestilentielle qu'on lui servait parfois, et qu'il avait aussitôt régurgité . Affamé, il s'imaginait les délices à la fraises, recouverts de chantilly, dégoulinant de crème que lui offraient ses maitres, ou qu'il achetait à la boulangerie la plus proche . Il adorait les fraises, le sucre et autres chatteries . Rêvant de ces douceurs vanillées, il ne pus retenir une lourde larme de salive, glissant de ses lèvres sensuelles pour couler le long de sa mâchoire, et laissa son regard vide se balader vaporeusement sur le plafond de sa cellule.

- Et toi, Tu as un nom ou il va falloir que je t'en donne un ? 

Une voix intimidante le fit légèrement soubresauter, l'arrachant a ses rêveries sirupeuses . Nébuleusement, Seishi tourna la tête vers son interlocuteur . Celui-ci fut d'abord interpellé par sa prestance, ses cheveux sombres et ses yeux dores rendant beaucoup à son charme, bien qu'il adoptait une position bizarre et un sourire plutôt effrayant . Troublé, Kazu laissa ses joues prendre une teinte plus rosée, mais reprit vite ses esprit ; ce n'était, une fois encore, qu'un sale humain . Pourtant, il émanait quelque chose d'étrange, de familier . Toutefois, cela ne l'empêcha pas de lui répondre de la même manière qu'à ces congénères, tout aussi aimablement .

- Et ta sœur elle a un nom? 

Dit-il montrant ses petites dents pointues, le regardant à peine en face .
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